Maïsadour, une force collective au service des adhérents
La coopérative Maïsadour porte un projet collectif économique et de territoire au service de la structuration des projets individuels des adhérents. Notre mode de gouvernance est un modèle original d’entreprise, fondé par et pour les agriculteurs, qui repose sur un principe simple : un homme, une voix.
Le renouvellement du Conseil d’Administration est un moment important et l’aboutissement de notre modèle coopératif. Ses membres ont en effet pour mission de représenter les agriculteurs, de fixer les objectifs et de contrôler leur réalisation. Ils décident des orientations politiques et stratégiques et constituent donc l’instance de décision essentielle.
UNE ÉQUIPE RENOUVELÉE ET DES AMBITIONS RÉAFFIRMÉES
Le 9 décembre, dans le cadre de la première réunion du Conseil d’administration après l’Assemblée Générale Statutaire, Daniel Peyraube a été élu pour succéder à Michel Prugue à la Présidence de Maïsadour.
Daniel PEYRAUBE
- 51 ans
- Agriculteur à Castaignos-Souslens (Landes) depuis 26 ans
- Poly-cultivateur (maïs, maïs semences, tournesol, soja) et éleveur (poulets, canards, pintades)
- Administrateur (2012-2015), membre du Bureau (2015-2020), Président délégué (2020-2022)
Cette réunion a également permis à Florian Lonné, agriculteur à Vielle-Tursan et nouvellement élu, de faire ses premiers pas en tant qu’administrateur.
Le nouveau Conseil d’administration de Maïsadour
La composition du Bureau de Maïsadour a également été remaniée. Composé de huit membres, il étudie, débat des orientations stratégiques et des différents dossiers qui seront présentés et votés en Conseil d’administration.
Le nouveau Bureau de Maïsadour
Aux côtés de cette équipe renouvelée, le nouveau Président, Daniel Peyraube, a affiché sa détermination à « faire de Maïsadour un acteur incontournable de l’agriculture française » grâce à la force de notre modèle et de notre collectif. « Nous avons des idées, une dynamique collective qui sait déceler des opportunités à réaliser. On embarque les agriculteurs adhérents et les salariés, car je ne crois pas au succès d’une entreprise en marche forcée » a-t-il conclu.