L’alternance est un contrat gagnant-gagnant entre une entreprise et un jeune. D’un côté, l’entreprise forme progressivement des personnes sur des postes spécifiques, de l’autre l’étudiant met un pied dans le monde du travail. Maïsadour fait ce pari depuis longtemps dans tous ses métiers, avec près de 70 jeunes chaque année. Ce dispositif fait d’ailleurs écho au pilier 3 de notre stratégie AMBiTiON 2030.
Hugo Langlade est passé par là. Aujourd’hui Chargé de développement en Productions animales, il en garde un souvenir plus que positif. « J’ai été pris en alternance parce que la personne qui occupait mon poste allait partir à la retraite. Maïsadour souhaitait former quelqu’un, tout en m’expliquant que, sans doute, j’allais ensuite la remplacer », résume-t-il.
70
C’est environ le nombre d’alternants que recrutait chaque année Maïsadour avant le Covid. Un chiffre qui est tombé à 45 pendant la crise, et qui revient désormais à son niveau d’origine.
Former les métiers de l‘agriculture de demain
Cette alternance l’a ravi tant sur l’apprentissage du métier que sur l’accompagnement au sein des services. « Cela nous met dans le bain, avec le métier, le tuteur, les collègues… J’ai pu m’imprégner du milieu, avoir les bonnes bases et être sûr que cela correspondait à mes attentes », précise-t-il. Il le reconnaît : « Maïsadour est un grand groupe, ce qui est sécurisant pour mon avenir et l’entente dans les équipes rend le travail quotidien motivant et plaisant ».
Le jeune Chargé de développement a vu son contrat se prolonger naturellement, en CDI cette fois, et il met désormais cette expérience acquise au service de la réussite des adhérents et de la pérennité de leurs exploitations. Hugo Langlade est l’un des 2 référents de Maïsadour sur la thématique majeure de la transmission des exploitations. Avec une ambition : « construire un monde agricole adapté aux contraintes actuelles, en apportant la vision des jeunes générations ».